Le Maroc serait-il devenu le nouvel el dorado des entreprises voire des entrepreneurs étrangers des Bâtiments et travaux publics ?
Tout laisse à penser que oui. A cet effet, on ne compte plus le nombre d’entreprises étrangères (espagnoles, portugaises et depuis peu italiennes), le dernier en date est notamment le groupe espagnol Urbalevante Ibense, qui investissent le secteur de l’immobilier marocains, et cela devient récurrent depuis que la crise économique sévit dans leurs pays d’origine. A priori, rien de mauvais n’apparait. Néanmoins lorsque que l’on examine de plus près ce secteur ,on constate que le coût facturé du m2 pour le logement social commence à être désormais adjugé toutes taxes comprises entre 1 900 DH et 2 000 DH alors qu’il variait plutôt entre 2 000 DH et 2 500 DH il y a à peine quelques mois. Il n’est pas question de leur accoler des pratiques de dumping. Cependant, rien n’est moins sur pour autant. Et de telles pratiques seraient au détriment des entreprises locales, d’où l’intérêt qui est aujourd’hui attaché à une susceptible réaction des législateurs pour ce qui est de la très attendue réforme de la loi sur des marchés publics où il serait peut être question d’introduire pour la première fois une clause explicite sur la «préférence nationale».
source:www.lavieeco.com
Laisser un commentaire